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Swim & Run de Carantec

Et oui, pour ceux qui n’aiment pas le vélo, il existe le swim and run ! – en plus cela permet, si on le souhaite, de nager avec de super grosses paddls 😉

Raphael GROSS, qui était allé, il y a deux ans, s’entrainer dans le Yorkshire, pays de deux frères bien connus dans le tri, nous compte sa course.

Bravo à toi Raphael

« Samedi 11 juin, j’ai participé au swim & Run de Carantec, dans le Finistère Nord. Avec mon binôme de travail et de swim run, Matthieu, nous participons cette année aux 4 épreuves du « challenge de l’ouest » de swim& run. Après Crozon début mai, et une ambiance méditerranéenne (odeur des pins chauffant au soleil sur les falaises, eau à 24 degrés – en réalité non, plutôt 14…), et avant Suscinio en septembre et Saint Nazaire en octobre, la 2ème étape se tenait à Carantec.
Encore une fois un temps splendide (évidemment : sur la côte des légendes et dans le Trégor, c’est toujours comme ça…) mais cette fois ci une bonne brise de mer, de nord ouest, pour cette épreuve qui se tient l’après-midi. Nous avons donc eu un bon clapot de face ou de travers sur la majeure partie des natations ce qui a rendu l’épreuve plus difficile. La particularité de Carantec est d’avoir un ratio natation / CAP un peu supérieur (4,5 km de natation pour 14 km de CAP) et surtout des enchainements fréquents avec des CAP courtes, des nats de longueur variable, souvent 2 natations enchainées avec juste qq dizaines ou centaines de mètres à courir. entre deux. On garde donc la longe, le bonnet, les lunettes, les plaquettes quasiment tout le temps car les transitions sont cruciales pour ne pas perdre de temps.
Nous finissons après beaucoup de plaisir, des paysages magnifiques, des conditions très sympathiques à part le brassage de 3/4 face sur une longue natation, en 2h40, 18/59 au total et 12/26 concernant les binômes hommes.
Hâte de passer sur du « un peu plus long » avec le L de Suscinio et d’augmenter progressivement les distances l’année prochaine. On se prend à rêver de Vassivière, voire plus… qui sait peut-être un jour le Troll Enez ? Mais qui veut voyager loin, ménage sa monture.
Quoi qu’il en soit, ma conversion du tri au swim run est faite ! Mais ne le dites pas à Rodolphe, il pourrait s’y mettre aussi… »

 

 

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Rédigé par :

Rodolphe D.

Rodolphe D.

Dans le monde triathlétique depuis 1990.