Connaissez-vous ces Super Héro(ïne)s qui nagent, pédalent et courent dans la Baie du Mont-Saint-Michel ? Ce sont les Baywomen et les Baymen, dont nombre de TCNistes font partie !
Ils et elles s’étaient donné rendez-vous nombreux, le week-end du 30 septembre au 1er octobre, sur cette 2e édition du Bayman, pour porter haut nos couleurs.
Pierre et Maxime nous font un retour de leur aventure XXL et Stéphanie nous raconte sa 1ere expérience L(ongue distance) :
Pierre :
Les doigts étant une des rares parties de mon corps indolore aujourd’hui, j’en profite pour faire mon résumé de course.
L’Ironman est le format qui me fait rêver depuis que je me suis mis au triathlon. Cependant je ne voulais pas bruler les étapes, et prendre le temps de me sentir capable et légitime avant de m’aligner sur cette distance. A l’origine j’étais inscrit au L du Bayman depuis un moment, mais en début d’été, en pleine préparation du L de l’Alpe d’Huez, j’ai décidé de voir plus grand et d’échanger mon dossard contre un de la distance supérieure. La date était idéale pour clôturer la saison en beauté, j’avais déjà de nombreux kilomètres dans les jambes, cela me laissait 3 mois pour faire une préparation spécifique, et le mois de septembre pour récupérer des excès de l’été. J’avais aussi besoin d’être entouré de ma famille, et de mes amis pour partager cette première fois, et profiter pleinement des émotions que ce sport génère. Le rendez-vous était pris.
Pour commencer j’ai pris énormément de plaisir, et j’ai beaucoup appris tout au long de la préparation de cet Ironman. La gestion des allures, les enchainements longs, la nutrition en course, même si on n’a cessé de me répéter que tout peut arriver sur le long et que rien ne se passe comme prévu, j’ai le sentiment de ne rien avoir laissé au hasard. Pendant les nombreuses sorties longues à vélo ou à pied, j’ai imaginé tous les scénarios possibles et imaginables. J’ai tellement visualisé cet objectif que j’ai ressenti les frissons de fin de course à plusieurs reprises au cours de mes entrainements. Avant même le départ je suis fier de ma préparation, j’ai l’impression que le plus dur est fait, et que je n’ai plus qu’à aller chercher ma récompense.
7h45, entouré de Damien et Max des athlètes expérimentés sur la distance je me jette à l’eau. Il fait plus chaud dans l’eau qu’à l’extérieur, ça ne bagarre pas, le plan d’eau est calme, les conditions parfaites. Je n’ai jamais nagé 3800m en eau libre, j’ai peur de trouver le temps long, mais le levé de soleil avec le mont saint-Michel en fond rend le moment magique. J’essaye de penser à ma trajectoire, ma technique de nage, et à glisser pour ne pas consommer trop d’énergie. 1h04 plus tard je ressors de l’eau, mes supporters sont réveillés et leur voix sont déjà bien chaudes. Je prends mon temps sur la transition, je suis concentré, je ne veux rien oublier pour les 180km de vélo qui m’attendent.
Je sais que cette deuxième épreuve est la plus piégeuse pour moi, que je peux m’emballer, et trop forcer. Pour gérer mon effort, je n’affiche que deux indicateurs sur mon Garmin : ma cadence de pédalage, et ma fréquence cardiaque. Sorti 28ème de la natation je me retrouve rapidement isolé. Je ne croiserai pas un seul concurrent du 20ème au 90ème kilomètre. J’adore ce moment, et les sensations que je ressens à cette allure. Je me sens super bien, je contient mon euphorie pour ne pas me mettre dans le rouge. Le parcours est un peu vallonné mais rapide, la fin dans les polders avec le mont Saint-Michel en arrière plan est magnifique. A la fin de la première boucle j’aperçois mes supporters sur le bord de la route, les encouragements me font du bien, je récupère mon ravitaillement personnel en 20 secondes chrono (merci les bénévoles) et j’attaque la deuxième.
Sur cette deuxième partie, on rattrape les participants du L, d’un côté ça me fait du bien de voir du monde, mais d’un autre ça devient un peu plus difficile de se concentrer uniquement sur mon effort. Je commence en plus à me sentir un peu inconfortable sur mon vélo de part la position aéro utilisée depuis déjà 3h, mais la bonne nouvelle c’est que je maintiens l’allure, que j’arrive toujours à m’alimenter, et que j’ai hâte de courir. J’ai des douleurs musculaires, les crampes auxquelles je suis régulièrement sujet ne sont pas loin. Je double la dose de capsule de sel que je consomme, et me concentre sur le positif pour boucler le vélo en 5h00 à 35km/h de moyenne. Un peu plus rapide que prévu, je suis satisfait du chrono, mais surtout de la gestion de la nutrition, j’ai ingéré plus de 500g de glucides, je sais que j’attaque le marathon relativement frais.
L’objectif est de courir le marathon en 3h30, soit une allure moyenne de 5’00/km, mais j’ai prévu de partir à 4’30 pour anticiper la montée du mont saint-Michel, les ralentissements pour se ravitailler, et la fatigue de fin de course. Le parcours à pieds est découpé en 4 boucles, dont la première incluant la montée en haut du mont Saint-Michel. J’apprécie les parcours en boucles, ça m’aide mentalement, et puis ça permet de voir ses supporters à de nombreuses reprises. Les sensations sont bonnes sur la première boucle, je fais partie des rare à réussir à courir lors de la montée du mont, ça me booste. Comme sur le vélo je n m’affole pas, et je m’empêche d’accélérer même si j’ai de bonnes jambes, car je sais que la route est encore longue. Je vois ma famille, mes amis, certains m’accompagnent sur quelques mètres, j’arrive à parler et à profiter de l’évènement.
A partir du 20ème kilomètre je commence à avoir du mal à m’alimenter, chaque gel me provoque des crampes d’estomac. Les jambes elles aussi se font plus lourdes, et l’allure diminue petit à petit. Je savais que ce moment arriverait, je m’y étais préparé, mais il est extrêmement dur de simuler la fatigue que l’on ressent à ce moment là à l’entrainement. La troisième boucle sera la plus dure mentalement et physiquement, je suis incapable d’identifier où j’ai mal tellement la douleur est omniprésente du haut de mes cuisses jusque sous mes pieds. Je me raccroche à des choses simples, mettre un pied devant l’autre, voir que les autres sont aussi dans le dur, penser au chemin parcouru à l’entrainement, compter les kilomètres avant de croiser ma famille ou mes amis, sourire et encourager les TCNistes sur le parcours. Cette partie de la course n’est pas la plus simple à décrire, mais elle durera quasiment jusqu’à la fin.
La délivrance arrive au 40ème kilomètre, je sais que je vais aller au bout de mon rêve, et que je vais réaliser un chrono que je n’imaginais pas. J’ai en plus la chance de rattraper Max, mon acolyte d’entrainement et de soirée, qui est dans sa troisième boucle du marathon et de partager quelques foulées ensemble. Parmi les scénarios imaginés pendant les heures d’entrainement, celui là était mon préféré. Au bout de la ligne droite je vois la ligne d’arrivée, je sens les émotions me rattraper, j’aperçois mon Papa, ma soeur, Marie, mes amis, j’ai réussi.
Côté performance, en 9h41 je repars avec le sub10h dont je rêvais, mais surtout avec les émotions que j’étais venu chercher. Merci aux supporters pour les encouragements. Sans vous je n’aurai pas pu aller aussi loin dans l’effort, et la course aurait n’aurait pas eu la même saveur.
Un grand bravo à tous les TCNistes inscrits sur tous les formats proposés sur le Bayman. Mention spéciale à Max et Damien avec qui j’ai partagé le XL, je suis admiratif de votre capacité à reproduire ces efforts longs et intenses. Au vu du grand nombre de champions au club, on a tendance à banaliser les exploits réalisés chaque week-end par les trifonctions oranges, peu importe la distance ou le chrono l’essentiel est dans le chemin parcouru pendant la préparation, et dans le frisson de la finish line.
Maxime :
Après avoir rempli mon objectif de l’année à Embrun mi-août, je pensais m’orienter vers une coupure bien méritée pour récupérer et attaquer la nouvelle saison pour laquelle quelques projets commencent à pointer le bout de leur nez, mais rien de concret.
Mais quand j’ai constaté que je récupérais très vite, que j’avais encore l’envie pour des longues sorties, et qu’à part quelques gênes articulaires, mes jambes répondaient bien à quelques séances d’intensité, j’ai eu envie de faire une dernière course avant le rideau. Je me suis donc mis à chercher un dossard qui me permettrait de découvrir un lieu et d’aller au bout de mes capacités pour vivre ces émotions si particulières et rares.
Le Bayman, bien qu’un peu trop proche de l’Embrunman, m’a assez vite paru une évidence : un lieu magique que je ne connaissais pas, pas mal de participants du TCN et de très bons retours de la première édition, en 2022. Malheureusement, la course L était déjà complète… Qu’à cela ne tienne, en quelques clics, me voici inscrit sur le format XXL, aux côtés de Julien, Damien, Pierre et Arnaud !
Le matin du jour J, je retrouve les 226 autres fous au parc à vélo, parmi lesquels figure mon compagnon de bêtise(s), Pierre B. Je suis ravi d’avoir cette course en commun avec lui, et suis pressé d’en découdre. J’ai tout de même une appréhension assez inhabituelle : l’enchaînement de 2 formats full en 1 mois et demi semble audacieux. Je me sens prêt, mais je ne sais pas comment mon corps va réagir sur le marathon.
Dans une ambiance plutôt fraîche (moins de 10°C au départ) et silencieuse, on se prépare. Puis, après quelques échanges de regards impatients, quelques sourires francs, et les derniers regards vers les spectateurs, on s’élance !
La nat est MA-GNI-FIQUE !! Le jour se lève et projette des couleurs exaltantes sur le Couesnon ; de la brume s’élève du cours d’eau et entoure les bras qui tournent, en rythme. C’est super poétique et ça fait vite relativiser un balisage approximatif du parcours (retour) et une sortie à l’australienne improvisée.
Je sors de l’eau dans les temps imaginés, me fais surprendre par une « petite » hypothermie lors de la longue transition, et finis par partir à vélo, k-way sur le dos (après le traditionnel pipi + crème solaire, big up à tous mes fans !).
Je me réchauffe sur les premiers km de plat et la première montée, le coup de froid est vite oublié. A la fin du premier des deux tours à rouler, je sens que j’en ai encore sous la pédale et prévois d’appuyer davantage sur la partie de plat, les 60 derniers km de la boucle. Un petit incident de prolongateurs (mon repose-coude de gauche s’est brisé à l’entrée des 60 derniers km) vient contrarier mes plans, mais ne m’empêche pas de finir le vélo dans un timing correct.
Je suis soulagé, mais je sais qu’il me reste encore le plus gros morceau : les 6 semaines de battement entre les deux courses ne m’ont pas permis de refaire des sorties très longues à pied, et j’ai l’impression de partir en terrain inconnu.
Le début de la CAP me rassure très vite : j’ai des supers sensations. Je n’ai pas trop puisé à vélo, les jambes répondent bien et je suis ravi de croiser les groupes de supporters qui nous encouragent sans relâche. Mais je commence à me connaître, et je sais qu’il faut que je parte prudemment, quitte à accélérer plus tard : je me cale sur l’allure prévue avec l’objectif de boucler le marathon en moins de 4 heures. Le parcours consiste en 4 tours de 10km, avec en petit bonus l’ascension du Mont Saint Michel à la fin de la 1ère boucle (1,5km environ). Si le parcours se montre un peu monotone, les paysages sont grandioses, et la météo parfaite pour l’exercice ! Les 3 premiers tours se passent sans accrocs, à rythme régulier.
Au début du 4ème tour, ça y est, ça devient dur. Mon corps commence à me faire sentir ce que représente l’enchaînement de 2 full en si peu de temps. Mais c’est paradoxalement l’état que je préfère dans ces courses : celui qui nécessite d’aller chercher des forces partout où c’est possible pour réussir à se dépasser. Je les trouve dans ma tête (en me rappelant les heures d’entraînement empilées et la jolie saison écoulée), auprès de mes proches (ceux qui sont venus nous encourager, et ceux que je sais en train de rafraîchir le live de course pour me suivre à distance), auprès des participants TCNistes croisés régulièrement sur un parcours qui s’y prête (et qui ne sont pas avares de petits mots d’encouragement) et auprès des paysages : tout se remet à l’endroit et prend d’un coup tout son sens.
La quatrième boucle se termine enfin, et j’ai l’honneur de passer la ligne d’arrivée devant les copains, ravi !
Ce tri aura renforcé ma conviction sur deux points : 1) tout se passe rarement comme prévu, sur le long. Mais c’est bien ça qu’est bon ! 2) On ne peut pas imaginer la force des émotions que ça fait ressentir, tant qu’on ne s’est pas aligné.
Félicitations à tous les TCNistes, qui ont brillé sur tous les formats (M, L, XXL) ; le succès de cette édition fait de cette course un candidat naturel aux objectifs club de 2024, à mon sens !
Cette saison m’aura beaucoup appris sur ma pratique, sur mes objectifs, sur ma gestion de course, sur ce que je veux et ai besoin de partager. Je ne suis pas peu fier de mon année, et c’est l’esprit léger que je me tourne désormais vers une récup bien méritée. Au plaisir de vous retrouver autour d’une bière !
Stéphanie :
Un nouveau défi : participer à un format L
Vendredi fin d’aprem nous voilà sur place avec la fine équipe Vincent, Yvan, Laurent , Quentin , Fréd et Damien « La Tortue »(format XXL ) …retrait des dossards et …de suite on installe le vélo dans le parc pour demain matin , on croise beaucoup de Tcnistes c’est chouette ,nous sommes 16 à participer au L et 4 sur le XXL, le lendemain aussi sur le M.
Samedi matin voilà…faut y aller….merci à tous les tcnistes pour leur soutien sur place et à tous ceux qui m’ont laissé un p’tit message.
La natation c’est tout droit ça me plaît, je commence à apprécier cette discipline car je démarre de zéro…..mes 1ers cours en visio avec Victor dans son garage (et oui c’était post covid !!..). enchaîner ensuite des longueurs de 50 m , la torture …..mais je ne lâche pas les entraînements.
Et là, les 1900m se passent bien 42 mn ça me va et je n’ai pas subi
…retour au parc à vélo en trottinant et c’est parti pour les 90 kms de vélo….et bien c’est long ….un parcours qui moralement dès les 40 premiers kms ….je sens que je vais subir .
Merci à Max V.( sur XXL) en me doublant m’encourage « Allez Stef , le plus dur est fait !!.. »….et bien non le plus dur je l’ai eu du 75ème au 82 kms où là gros coup du mou ….La Tortue me double et voyant ma tête ne me dit rien !
Un dernier gel et ça repart..l’hydratation et la nourriture c’est le point positif sur le vélo, j’ai tout bien géré.
Enfin la T2 arrive je descends avec un grand plaisir de mon vélo, et c’est parti pour le semi , suis sereine ,2 3 4…5 ..6 km ça va bien , petite pause à chaque ravitos, et petit à petit une douleur en bas du dos côté droit arrive au fil des kilomètres, je monte tranquille le Mont st Michel pourtant à 1h10 suis aux 10kms ça me rassure …pas longtemps finalement car la douleur est là et elle y reste .
Je termine en serrant les dents, mais je franchis cette superbe ligne d’arrivée face au Mont St Michel.
Merci aux tcnistes pour votre soutien sur la course , à Zoé et Gwen sur le parcours pour vos encouragements.
Un super week-end !
Suis prête à reprendre les entraînements pour renouveler cette fabuleuse expérience sur cette distance et espérons améliorer mon chrono.
Les résultats de tous les TCNistes :
TRIATHLON XXL | |||||
Classement | Nom, prénom | Catégorie | Sexe | Club | Temps |
1 | BOURGEOIS Matthieu | S2 | M | MONTLUCON TRIATHLON | 08:12:10 |
9 | EPP Arnaud | S4 | M | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 09:03:49 |
20 | BOUSSION Pierre | S2 | M | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 09:41:44 |
48 | VERNY Maxime | S3 | M | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 10:43:27 |
90 | ROUSSEAU Julien | S3 | M | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 11:35:38 |
118 | BOIX Damien | V5 | M | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 12:01:15 |
TRIATHLON L | |||||
Classement | Nom, prénom | Catégorie | Sexe | Club | Temps |
1 | GUILLOUX Arnaud | S4 | M | LES SABLES VENDEE TRIATHLON | 03:48:21 |
29 | ANNE-SOPHIE Pierre | S1 | F | 04:29:52 | |
35 | LEVEILLE Frederic | V2 | M | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 04:34:31 |
43 | VALLAEYS Valentin | S2 | M | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 04:37:30 |
91 | GUILLOTEAU Pierre | S2 | M | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 04:50:28 |
140 | PONSIN Romain | S2 | M | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 04:57:59 |
162 | CHARON Axel | S2 | M | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 05:00:58 |
213 | GIRAULT Julien | V1 | M | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 05:09:43 |
226 | DECAUX Aurelie | S2 | F | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 05:10:53 |
249 | BUTEAU Pierre | S3 | M | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 05:13:29 |
328 | ROSSOTTI Vincent | V1 | M | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 05:22:51 |
353 | SUDRE Frédéric | V3 | M | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 05:25:37 |
354 | PATRON Olivier | V2 | M | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 05:25:49 |
384 | CHATEIGNER Philippe | V1 | M | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 05:28:09 |
430 | BRIOT Quentin | S3 | M | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 05:33:49 |
479 | HEMONET Yvan | V3 | M | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 05:39:39 |
488 | LE CORRE Laurent | V3 | M | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 05:40:26 |
888 | LORET Stéphanie | V3 | F | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 07:04:13 |
TRIATHLON M | |||||
Classement | Nom, prénom | Catégorie | Sexe | Club | Temps |
1 | RAPHAEL Aurelien | S4 | M | POISSY TRIATHLON | 02:00:26 |
22 | BLAISE Mathieu | S2 | M | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 02:19:00 |
26 | BACHET Lola | S2 | F | SAINT AVERTIN SPORTS TRIATHLON 37 | 02:19:56 |
86 | COLLET Charles | S3 | M | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 02:31:46 |
221 | PATRON Gwenaelle | V2 | F | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 02:44:18 |
315 | BRUNEAU Xavier | S3 | M | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 02:50:17 |
457 | GRANGE Maëlle | S2 | F | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 02:58:53 |
580 | BUISSON Fanny | S2 | F | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 03:06:51 |
773 | FLEURY Eve | S3 | F | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 03:27:00 |
806 | DONNART Carole | S3 | F | TRIATHLON CLUB NANTAIS | 03:31:52 |
Le site du Bayman : https://www.bayman.fr/
Les résultats complets sont ici : https://www.bayman.fr/resultats-2023/
On n’oublie pas de renseigner le « Qui Court Où ? » pour faciliter le travail de l’équipe de rédaction et pour faciliter l’organisation de nos déplacements sur les différentes épreuves de la saison.
Vos récits de course sont à envoyer à communication@triathlon-club-nantais.com
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